The Transat, des galères et une course contre le temps

Anatole prend le large sur The Transat ! 🌊 Enfin... presque. Après seulement trois jours de course, en pleine dépression, une pièce du safran tribord se brise complètement. Anatole doit se dérouter et revenir à Concarneau. Mais abandonner ? Pas une seconde ! 💪 Il faut réparer et repartir car on a un record à battre après !

À terre, c’est le branle-bas de combat. Victor se démène pour retrouver les plans de cette pièce en inox et dénicher un usineur capable de relever le défi en 24 heures. La quête le mène de Bretagne à Paris, puis jusqu'à Lyon, sans succès… jusqu’à ce qu’il tombe sur Polymecanic, “l’urgentiste de l’usinage” 🔧. Ironique, non ? Habitués aux pièces pour l’agroalimentaire, ils acceptent le défi et fabriquent cette pièce sur-mesure en un temps record.

Anatole revient exténué à Concarneau, après trois jours de navigation sur une “seule jambe”.

Une équipe d’amis se mobilise aussitôt : on répare, nettoie, réinstalle la pièce et prépare le bateau. Une nuit de repos pour Anatole, et il est prêt à repartir. 🌬️ En pleine nuit, sous le vent froid, il se lance à nouveau dans la traversée de l’Atlantique. Sur le quai, les pêcheurs, interloqués, demandent : "Mais pourquoi ce bateau part-il en pleine nuit ?" La réponse : "Il va à New York, en solitaire." 😯 Les regards s’agrandissent !

Retour en mer, mais la course contre la montre commence ⏱️ Enfin libéré, Anatole savoure chaque instant en musique, seul face à l’océan. Mais la flotte est loin… Très loin. Nos prévisions météo montrent que boucler The Transat avant la fermeture de la ligne d'arrivée sera un véritable défi. Les minutes sont comptées !

Anatole redouble d’efforts, prêt à tout pour franchir la ligne parmi les finishers de cette Transat légendaire.